Le type même du balayeur des rues que l'on rencontre partout. Grâce à eux la vieille ville est toujours impeccable.
On en trouve un peu partout, ils vendent des petite machines manuelles pour évider les courgettes ou présenter les légumes de façon originale. Si il y en a parmis vous que ça interresse, faites moi signe!
Et aussi des mûres de Damas dont on fait du jus, là vendu en bouteilles. Toujours devant la mosquée des Omeiyades.
En Syrie il n'y a pas de mendiant qui fasse la manche. Pour des raisons d'honneur ils ont toujours un petit carton de mouchoirs, de cigarettes ou de chwingum à vendre pour des sommes ridicules, et les gens soit donnent sans acheter, soit achètent et donnent plus.Ce qui explique qu'on voit beaucoup de ce que j'appelle des "petits métiers, vendeurs à la sauvette comme on dit chez nous. Il n'y a pas non plus de sans abris, chacun fait forcément partie d'une famille qui au minimum donnent nourriture et logement. La solidarité familiale (toujours la famille au sens large) n'est pas un vain mot, le système communautaire est toujours la base de la vie ici. A l'occasion des grandes fêtes, les cadeaux sont de rigueur, et l'on donne, le plus discrètement possible, de l'argent aux membres de la famille les plus pauvres.
C'est pour la paysanne au fond que je la remets. Beaucoup de paysans des alentours de Damas viennent en ville pour vendre les produits de leurs jardins, fruits ou légumes en fonction de la saison, certains s'installent comme cette femme sur un coin de trottoir, d'autres remplissent sacoches et paniers de leur vélo, et parcourent les rue en criant les noms des produits qu'ils ont.
( j'aime beaucoup cette photo !!)
La Syrie depuis quelques année est grande productrice de "séries télévisées" qui sont regardées dans tout le Moyen Orient. J'ai acheté quelques DVD de l'une d'elle très célèbre, pour perfectionner mon arabe parlé. Ici dans le souq Hamidiyé.